Enseignants-chercheurs au Maroc – Le Conseil de gouvernement a récemment adopté un projet de décret visant à octroyer un complément de rémunération aux enseignants-chercheurs dans les domaines de la médecine, pharmacie, et médecine dentaire. Ce décret représente une étape clé dans l’amélioration des conditions de travail et la valorisation des professionnels de la santé au Maroc.
Lire aussi : Fuite des médecins : le Maroc face à un défi majeur.
Adoption du Décret sur la Rémunération des Enseignants-Chercheurs au Maroc
Le Conseil de gouvernement a approuvé récemment le projet de décret n° 2.23.1194, modifiant et complétant le décret n° 2.90.471 du 25 décembre 1990. Ce projet, présenté par le ministre de la Santé et de la Protection Sociale, Khalid Aït Taleb, a pour objectif principal d’octroyer un complément de rémunération aux enseignants-chercheurs au Maroc des facultés de médecine, de pharmacie, et de médecine dentaire. Le porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas, a précisé que cette initiative s’inscrit dans la mise en œuvre des Hautes instructions Royales visant à réhabiliter le système national de santé.
Image | Product | Feature | Price |
---|---|---|---|
TOP Pick
|
Cahier Écriture Française | Cahiers d’exercices magiques pour l’écriture et la calligraphie – Réutilisables – 4 livres et stylos | Amazon |
Trending
|
Friteuse sans Huile | COSORI Air Fryer 5,5L avec 13 Fonctions, Friteuse sans Huile 1700W, avec 100 Recettes , Pour Cuire, Frire, Rôtir et Griller tous vos Aliments | Amazon |
Contexte et Implications du Décret Enseignants-chercheurs au Maroc
Ce décret s’inscrit dans un contexte de réformes plus larges visant à améliorer le système de santé au Maroc. Il fait partie du programme gouvernemental 2021-2026 qui met un accent particulier sur la valorisation du capital humain. La signature de cet accord en août 2023 entre le ministère de la Santé et le syndicat national de l’enseignement supérieur a été une étape décisive. Cela démontre l’engagement du gouvernement à améliorer les conditions de travail des enseignants-chercheurs.
Détails et Objectifs du Décret
Le décret modifie le cadre juridique en vigueur pour inclure un complément de rémunération spécifique. Ce complément de rémunération vise à reconnaître et valoriser davantage les efforts de ces professionnels. De plus, la dénomination de « professeur assistant de l’enseignement supérieur » est remplacée par celle de « maître de conférences ». L’objectif de cette modification est de refléter les responsabilités et les compétences de ces enseignants.
Impact et Portée du Décret
L’impact attendu de ce décret est multiple. En améliorant les conditions de rémunération, le gouvernement espère attirer et retenir des talents dans les facultés de médecine, de pharmacie, et de médecine dentaire. Cette mesure vise également à renforcer la qualité de l’enseignement. Ainsi, le gouvernement pourra améliorer la qualité des soins de santé fournis à la population marocaine.
Lire aussi : Pénurie de Médecins au Maroc : Quelles Solutions pour l’Avenir ?
Réactions et Perspectives des Parties Prenantes
Les enseignants-chercheurs au Maroc et les représentants syndicaux ont accueilli favorablement ce décret. Ils voient en cette décision une reconnaissance de leur travail. De plus, un pas important vers l’amélioration de leurs conditions de travail. Les réactions positives soulignent l’importance de cette mesure pour le secteur de la santé au Maroc.
Prochaines Étapes et Mise en Oeuvre
Les prochaines étapes pour la mise en œuvre de ce décret incluent la finalisation des procédures administratives nécessaires et la communication des nouvelles directives aux institutions concernées. Les défis potentiels incluent la gestion de la transition vers les nouvelles règles de rémunération, mais des stratégies sont en place pour assurer une adoption efficace et sans heurts.
En résumé, ce nouveau décret représente une avancée significative dans la valorisation des enseignants-chercheurs au Maroc. Il souligne l’engagement du gouvernement marocain à améliorer les conditions de travail dans le secteur de la santé. De plus, c’est une preuve de la volonté gouvernemental à promouvoir l’excellence dans l’enseignement supérieur médical.
Pour plus d’actualité sur le Maroc, c’est ici.